Les deux parties sont finalement arrivées à un accord.
Pravind Jugnauth réclamait la somme de Rs. 100 millions à l’Etat, dans le cadre du procès intenté à l’État et à l’assistant commissaire de police, Pregassen Vuddamalay lors de son arrestation le 26 décembre 2012 dans l’affaire de pédophilie alléguée au Mauritius Institute of Training and Development.
Pravind Jugnauth dit avoir été « embarqué de manière arbitraire » par des policiers à sa résidence de Vacoas, le 26 décembre 2012, en présence de son épouse et de ses filles, à la suite d'une plainte déposée par l’attorney General d’alors, Yatin Varma, et la ministre de l’Egalité des genres d’alors, Sheila Bappoo.
Ces derniers accusaient Pravind Jugnauth d’avoir fait des allégations contre l’État lors de sa conférence de presse au Sun Trust consacrée à l’Affaire MITD. Une affaire qui faisait polémique après que deux enseignantes de cette institution avaient révélé les relations entre un de leurs collègues et ses étudiantes.
Pravind Jugnauth qui était alors dans l’Opposition a par la suite été autorisé à rentrer chez lui. Toutefois, le 3 janvier 2013, il a été de nouveau convoqué. Et interrogé jusqu’à 4 heures le lendemain.
Le 23 juillet 2014, le Bureau du DPP avait émis un communiqué pour expliquer qu’il n’envisageait aucune poursuite contre Pravind Jugnauth.
Par l’entremise de son avouée, Saya Ammanah Ragavoodoo, Pravind Jugnauth réclamait la somme de Rs. 100 millions à l’Etat comme dommages.
Après un accord en Cour, l’Etat présentera ses excuses à Pravind Jugnauth. Et ne paiera rien au Premier ministre.
Pravind Jugnauth réclamait la somme de Rs. 100 millions à l’Etat, dans le cadre du procès intenté à l’État et à l’assistant commissaire de police, Pregassen Vuddamalay lors de son arrestation le 26 décembre 2012 dans l’affaire de pédophilie alléguée au Mauritius Institute of Training and Development.
Pravind Jugnauth dit avoir été « embarqué de manière arbitraire » par des policiers à sa résidence de Vacoas, le 26 décembre 2012, en présence de son épouse et de ses filles, à la suite d'une plainte déposée par l’attorney General d’alors, Yatin Varma, et la ministre de l’Egalité des genres d’alors, Sheila Bappoo.
Ces derniers accusaient Pravind Jugnauth d’avoir fait des allégations contre l’État lors de sa conférence de presse au Sun Trust consacrée à l’Affaire MITD. Une affaire qui faisait polémique après que deux enseignantes de cette institution avaient révélé les relations entre un de leurs collègues et ses étudiantes.
Pravind Jugnauth qui était alors dans l’Opposition a par la suite été autorisé à rentrer chez lui. Toutefois, le 3 janvier 2013, il a été de nouveau convoqué. Et interrogé jusqu’à 4 heures le lendemain.
Le 23 juillet 2014, le Bureau du DPP avait émis un communiqué pour expliquer qu’il n’envisageait aucune poursuite contre Pravind Jugnauth.
Par l’entremise de son avouée, Saya Ammanah Ragavoodoo, Pravind Jugnauth réclamait la somme de Rs. 100 millions à l’Etat comme dommages.
Après un accord en Cour, l’Etat présentera ses excuses à Pravind Jugnauth. Et ne paiera rien au Premier ministre.