La libération sous conditionnelle de Bruneau Laurette et ses récentes révélations depuis quelques heures, viennent remettre sur le tapis une liste de personnalités politiques en rapport avec l'affaire Franklin.
Alors que Jean-Hubert Célerine, alias Franklin, a comparu devant le tribunal de Bambous ce mardi, puis reconduit en détention jusqu’au 7 mars prochain, suite à une enquête de Commission anticorruption pour blanchiment d'argent, c'est un autre personnage qui s'est fait remarqué dans la cour du tribunal en la personne de Fransco Laboudeuse, le demi-frère de ce dernier.
Un brin sur la défensive envers un journaliste, Fransco Laboudeuse considéré comme le siamois de Franklin est apparu sur les réseaux sociaux, après l'empressement des membres du gouvernement de blanchir leur réputation. En effet, le Net a vu défiler des photos montrant plusieurs personnalités du pouvoir aux côtés de Fransco (Jean Rudolph) Laboudeuse, le demi-frère de Franklin. Président du village (en 2017-2018) et conseiller de Grande-Rivière-Noire, de 2012 à 2020. Fransco aurait reçu un «attachment orders» par l'ICAC en mars 2018, en même temps que son frangin.
Mais plus surprenant, si on appris qu'il était le géniteur de deux enfants, sur lesquels il n'a d'ailleurs pas hésité à faire le serment sur leur tête, le ministre Alan Ganoo a affirmé, le 15 février dernier, n'avoir jamais reçu de «donasion avek Franklin». Tout le monde connait Franklin mais il est devenu très clairement un pestiféré. Si dans un premier temps, Alan Ganoo affirmait qu'il a déjà entendu parler d’un certain Franklin de Rivière Noire. Cependant, il n’a jamais eu affaire avec lui. Encore moins de contact ! « Je suis dans la circonscription no 14 depuis 40 ans. Je connais tout le monde. J’ai déjà entendu parler d’un monsieur qui s’appelle Franklin. Mais je n’ai jamais eu de contact lui ». Et qu'en est-il avec Fransco, le demi-frère ?
Rappelons que Ganno s'en est prit à ses détracteurs qui s'en prennent à la Parliamentary Private Secretary (PPS) et députée de la circonscription numéro 18 (Belle-Rose/Quatre-Bornes), Tania Diolle et lui : « Ou kone li fasil dir ninport kwa kont ninport ki sanla ». Selon lui, ceci est un complot ourdi par les adversaires politiques voulant les associer avec des marchands de drogue.
Alors que Jean-Hubert Célerine, alias Franklin, a comparu devant le tribunal de Bambous ce mardi, puis reconduit en détention jusqu’au 7 mars prochain, suite à une enquête de Commission anticorruption pour blanchiment d'argent, c'est un autre personnage qui s'est fait remarqué dans la cour du tribunal en la personne de Fransco Laboudeuse, le demi-frère de ce dernier.
Un brin sur la défensive envers un journaliste, Fransco Laboudeuse considéré comme le siamois de Franklin est apparu sur les réseaux sociaux, après l'empressement des membres du gouvernement de blanchir leur réputation. En effet, le Net a vu défiler des photos montrant plusieurs personnalités du pouvoir aux côtés de Fransco (Jean Rudolph) Laboudeuse, le demi-frère de Franklin. Président du village (en 2017-2018) et conseiller de Grande-Rivière-Noire, de 2012 à 2020. Fransco aurait reçu un «attachment orders» par l'ICAC en mars 2018, en même temps que son frangin.
Mais plus surprenant, si on appris qu'il était le géniteur de deux enfants, sur lesquels il n'a d'ailleurs pas hésité à faire le serment sur leur tête, le ministre Alan Ganoo a affirmé, le 15 février dernier, n'avoir jamais reçu de «donasion avek Franklin». Tout le monde connait Franklin mais il est devenu très clairement un pestiféré. Si dans un premier temps, Alan Ganoo affirmait qu'il a déjà entendu parler d’un certain Franklin de Rivière Noire. Cependant, il n’a jamais eu affaire avec lui. Encore moins de contact ! « Je suis dans la circonscription no 14 depuis 40 ans. Je connais tout le monde. J’ai déjà entendu parler d’un monsieur qui s’appelle Franklin. Mais je n’ai jamais eu de contact lui ». Et qu'en est-il avec Fransco, le demi-frère ?
Rappelons que Ganno s'en est prit à ses détracteurs qui s'en prennent à la Parliamentary Private Secretary (PPS) et députée de la circonscription numéro 18 (Belle-Rose/Quatre-Bornes), Tania Diolle et lui : « Ou kone li fasil dir ninport kwa kont ninport ki sanla ». Selon lui, ceci est un complot ourdi par les adversaires politiques voulant les associer avec des marchands de drogue.
