C’est ce qui s’appelle défendre son client bec et ongles. On croyait l’affaire close, suite à la décision des magistrates Nalini Cunden Senevrayar et Nadjiyya Dauhoo d’admettre l’enregistrement de la conversation entre Patrick Soobhany et Raj Dayal. Mais Jacques Panglose avait encore d’autres lapins dans son chapeau.
Ainsi, dans l’affaire Bal Kouler, lors de l’audience, qui s’est poursuivie cet après-midi devant la division financière de la cour intermédiaire, l’avocat Panglose a objecté de tout son soul. Il s’est opposé à la production du téléphone portable qui contient l'enregistrement en question. Cela, pour une question d’enveloppe.
C’est un inspecteur de police qui a présenté le fameux téléphone au tribunal. Il se trouvait dans une enveloppe scellée. Sauf que Me Jacques Panglose a indiqué que l'enveloppe scellée n’avait jamais été vue auparavant. En fait, le téléphone se trouvait dans une enveloppe qui se trouvait dans l'enveloppe marron scellée. C’était suffisant pour faire bondir Jacques Panglose… de quelques centimètres (vu son âge).
Et l’avocat d’alléguer, cette fois-ci, que c’est la pièce à conviction qui pourrait avoir été falsifiée. Cela a fait (presque) rire le représentant du DPP qui estime que l'argument de son confrère est erroné. Mais les magistrates Nalini Cunden Senevrayar et Nadjiyya Dauhoo devront statuer sur la question demain.
Ainsi, dans l’affaire Bal Kouler, lors de l’audience, qui s’est poursuivie cet après-midi devant la division financière de la cour intermédiaire, l’avocat Panglose a objecté de tout son soul. Il s’est opposé à la production du téléphone portable qui contient l'enregistrement en question. Cela, pour une question d’enveloppe.
C’est un inspecteur de police qui a présenté le fameux téléphone au tribunal. Il se trouvait dans une enveloppe scellée. Sauf que Me Jacques Panglose a indiqué que l'enveloppe scellée n’avait jamais été vue auparavant. En fait, le téléphone se trouvait dans une enveloppe qui se trouvait dans l'enveloppe marron scellée. C’était suffisant pour faire bondir Jacques Panglose… de quelques centimètres (vu son âge).
Et l’avocat d’alléguer, cette fois-ci, que c’est la pièce à conviction qui pourrait avoir été falsifiée. Cela a fait (presque) rire le représentant du DPP qui estime que l'argument de son confrère est erroné. Mais les magistrates Nalini Cunden Senevrayar et Nadjiyya Dauhoo devront statuer sur la question demain.
