Jacques Panglose n’en démord pas. Après avoir objecté à tout, ou presque, le voilà qui sort son joker. Il réclame l’arrêt définitif du procès intenté à Raj Dayal parce qu’un document n’a pas été remis à la défense.
Il semble que le camp Dayal, après avoir échoué à bloquer la production du téléphone et de l’enregistrement de la conversation entre Soobhany et l’ancien ministre, table désormais sur le vice de procédure. Dans cette optique, tout détail peut valoir son pesant d’or. En tout cas, le fait qu’un document ne figurait pas parmi les pièces à conviction fournies à la défense constitue un vice de procédure.
Le panel d’avocats de Raj Dayal, selon lui, n’a pu préparer correctement sa défense. Les débats ont eu lieu sur cet aspect devant la division financière de la cour intermédiaire. Les magistrates Nadiyyah Dauhoo et Nalini Senevrayar-Cunden donneront leur ruling le 25 novembre prochain.
Il semble que le camp Dayal, après avoir échoué à bloquer la production du téléphone et de l’enregistrement de la conversation entre Soobhany et l’ancien ministre, table désormais sur le vice de procédure. Dans cette optique, tout détail peut valoir son pesant d’or. En tout cas, le fait qu’un document ne figurait pas parmi les pièces à conviction fournies à la défense constitue un vice de procédure.
Le panel d’avocats de Raj Dayal, selon lui, n’a pu préparer correctement sa défense. Les débats ont eu lieu sur cet aspect devant la division financière de la cour intermédiaire. Les magistrates Nadiyyah Dauhoo et Nalini Senevrayar-Cunden donneront leur ruling le 25 novembre prochain.
