Ameenah Gurib-Fakim enfonce le clou. Elle affirme qu’en novembre 2016, quand le Premier ministre d’alors, sir Anerood Jugnauth, lui a dit qu’il allait démissionner, il n’a jamais évoqué l’enquête du Serious Fraud Office britannique sur les transactions de son fils avec Bel Air Sugar Estate.
« Il n’a pas dit non plus que l’Attorney General d’alors avait écrit au Serious Fraud Office pour indiquer qu’il n’y aurait plus de collaboration », souligne-t-elle.
Et se préciser qu’elle a été induite en erreur. Car, si elle avait su concernant l’enquête du Serious Fraud Office, à aucun moment, elle n’aurait jamais accepté de nommer Pravind Jugnauth Premier ministre. Elle dit qu’elle aurait préféré démissionné. Doit-on la croire ?
« Il n’a pas dit non plus que l’Attorney General d’alors avait écrit au Serious Fraud Office pour indiquer qu’il n’y aurait plus de collaboration », souligne-t-elle.
Et se préciser qu’elle a été induite en erreur. Car, si elle avait su concernant l’enquête du Serious Fraud Office, à aucun moment, elle n’aurait jamais accepté de nommer Pravind Jugnauth Premier ministre. Elle dit qu’elle aurait préféré démissionné. Doit-on la croire ?