Joseph Michel de Ravel de l’Argentière est décédé dans la nuit du vendredi 5 juillet. Il souffrait d’une « tumeur cérébrale maligne agressive ». Cette maladie a été diagnostiquée en novembre 2018.
En liberté surveillée depuis le 24 avril 2019, Joseph Michel de Ravel de l’Argentière a été reconnu coupable, le 28 août 2018, et ce, sous 21 chefs d’accusation d’attentat à la pudeur sur 7 victimes, âgées de moins de 12 ans à l’époque des faits dont sa propre nièce.
Huit femmes accusaient le cadre de Tamarin d’abus sexuels alors qu’elles étaient encore enfants. Le prévenu aurait profité, selon eux, du fait qu'il était un ami de leurs parents. Les victimes ont porté plainte à la police après plus de 20 ans après les faits soir en 2012. Le procès a démarré en 2016.
Lors du procès, le prévenu, âgé de 57 ans, avait plaidé coupable à deux-tiers des 21 accusations d’attentat à la pudeur.
Il a admis avoir tripoté cinq des huit victimes, indiquant cependant qu’elles étaient consentantes et que, pour lui, il ne s’agissait que de jeux. Il a indiqué avoir été lui-même victime d’attouchements sexuels dans son enfance.
En liberté surveillée depuis le 24 avril 2019, Joseph Michel de Ravel de l’Argentière a été reconnu coupable, le 28 août 2018, et ce, sous 21 chefs d’accusation d’attentat à la pudeur sur 7 victimes, âgées de moins de 12 ans à l’époque des faits dont sa propre nièce.
Huit femmes accusaient le cadre de Tamarin d’abus sexuels alors qu’elles étaient encore enfants. Le prévenu aurait profité, selon eux, du fait qu'il était un ami de leurs parents. Les victimes ont porté plainte à la police après plus de 20 ans après les faits soir en 2012. Le procès a démarré en 2016.
Lors du procès, le prévenu, âgé de 57 ans, avait plaidé coupable à deux-tiers des 21 accusations d’attentat à la pudeur.
Il a admis avoir tripoté cinq des huit victimes, indiquant cependant qu’elles étaient consentantes et que, pour lui, il ne s’agissait que de jeux. Il a indiqué avoir été lui-même victime d’attouchements sexuels dans son enfance.
