Lorsqu’un salarié est en arrêt de travail, son contrat est suspendu. Il ne vient donc plus travailler et son employeur n’est plus obligé de lui verser sa rémunération.
Cependant, le salarié n’est pas sans ressources puisque la Sécurité Sociale lui versera des indemnités journalières, qui correspondent aux sommes versées pour compenser l’impossibilité, en arrêt maladie, de travailler et de percevoir le salaire correspondant.
Un employé gardera le maintient de 100% de son salaire sous le nouveau Workers’ Right Act.
Selon Darma Ramjunum, commissaire adjoint à la Sécurité sociale : « La personne qui contribue dans un plan de pension lors d’une blessure au travail doit faire une application à la sécurité sociale, certifié par son employeur. L’employeur, doit payer les deux premières semaines et après cela la sécurité social rentrera dans l’action avec le paiement à 100% ».
Par ailleurs, les personnes alitées ont désormais droit à une visite médicale à domicile dès l’âge de 60 ans, au lieu de 70 ans, comme c’était le cas auparavant.
Cependant, le salarié n’est pas sans ressources puisque la Sécurité Sociale lui versera des indemnités journalières, qui correspondent aux sommes versées pour compenser l’impossibilité, en arrêt maladie, de travailler et de percevoir le salaire correspondant.
Un employé gardera le maintient de 100% de son salaire sous le nouveau Workers’ Right Act.
Selon Darma Ramjunum, commissaire adjoint à la Sécurité sociale : « La personne qui contribue dans un plan de pension lors d’une blessure au travail doit faire une application à la sécurité sociale, certifié par son employeur. L’employeur, doit payer les deux premières semaines et après cela la sécurité social rentrera dans l’action avec le paiement à 100% ».
Par ailleurs, les personnes alitées ont désormais droit à une visite médicale à domicile dès l’âge de 60 ans, au lieu de 70 ans, comme c’était le cas auparavant.
