Le gouvernement de Pravind Jugnauth revient à la charge avec un projet de loi de Cybersecurité afin de combattre la Cybercriminalité, qui n'est au final qu'une version sucée et resucée de la Consultative Paper de l’Information and Communication Technologies Authority (ICTA).
Des accusations d'harcèlement sexuels alléguées refont surface concernant Deepak Balgobin.
Après l'échec cuisant en matière de répression sur la liberté d'expression de Maneesh Gobin, le Part time Attorney general, puis de Me Dick Ng Sui Wa, le Part time Chairman de l’Information and Communication Technologies (ICTA), enter Deepack Balgobin, ministre de la Technologie, de la Communication et de l’Innovation (TIC), qui sous prétexte de réguler les dérapages sur les réseaux sociaux, tente coûte que coûte et souvent au prix de la liberté d'expression, de protéger le gouvernement des critiques nourries par les internautes.
Pêle-mêle : piratage, utilisateurs Facebook, médias, sites web.
Selon Ish Sookun, Systems Architect à La Sentinelle, le comité national de cybersécurité sera composé de membres sélectionnés uniquement par le ministre, ceci alors qu' «il n’y a aucune transparence et aucune possibilité pour quelqu’un de faire appel de toute décision prise par le comité» dans la forme actuelle du projet de loi.
Liberté d'expression à l'île Maurice : la dérive dangereuse de l'ICTA
Dick Ng Sui Wa veut mettre un bâillon aux rédactions de presse
Rappelons à toute fin utile que le pouvoir fait tout pour contrôler les commentaires sur les réseaux sociaux et étouffer la voix des opposants politiques ou tous ceux encore qui n'ont pas fait acte d'allégeance auprès du Petit Prince du jour. Rappelons qu'en avril 2021, une cinquantaine d’organisations internationales ont condamné la Consultative Paper.
Des accusations d'harcèlement sexuels alléguées refont surface concernant Deepak Balgobin.
Après l'échec cuisant en matière de répression sur la liberté d'expression de Maneesh Gobin, le Part time Attorney general, puis de Me Dick Ng Sui Wa, le Part time Chairman de l’Information and Communication Technologies (ICTA), enter Deepack Balgobin, ministre de la Technologie, de la Communication et de l’Innovation (TIC), qui sous prétexte de réguler les dérapages sur les réseaux sociaux, tente coûte que coûte et souvent au prix de la liberté d'expression, de protéger le gouvernement des critiques nourries par les internautes.
Pêle-mêle : piratage, utilisateurs Facebook, médias, sites web.
Selon Ish Sookun, Systems Architect à La Sentinelle, le comité national de cybersécurité sera composé de membres sélectionnés uniquement par le ministre, ceci alors qu' «il n’y a aucune transparence et aucune possibilité pour quelqu’un de faire appel de toute décision prise par le comité» dans la forme actuelle du projet de loi.
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Rappelons à toute fin utile que le pouvoir fait tout pour contrôler les commentaires sur les réseaux sociaux et étouffer la voix des opposants politiques ou tous ceux encore qui n'ont pas fait acte d'allégeance auprès du Petit Prince du jour. Rappelons qu'en avril 2021, une cinquantaine d’organisations internationales ont condamné la Consultative Paper.