Sumayyah Hosany, une Mauricienne ayant fait ses études en Chine ainsi que Abdul Zahir Hamad, son époux d'origine pakistanaise, font partie des équipes médicales déployées à Wenzhou pour aider à dépister l'épidémie coronavirus.
Un étudiant mauricien explique pourquoi il reste à Wuhan.
Chirurgienne de formation, elle est sur le terrain depuis le 3 février, dans une ville mise en quarantaine selon le protocole sanitaire installé en Chine.
«Nous combattons le virus, pas les gens.»
Ayant fait leurs études de médecine en Chine depuis dix ans, employés au Wenzhou Panhealth Medical, ils estiment désormais que «la Chine est notre deuxième maison». C'est ainsi qu'ils n'ont pas hésité à répondre présents lors d'un appel à volontaires de l'hôpital.
Tenue de protection et masque, ils ont en charge la protection, la sécurité et le contrôle sur route en interrogeant les automobilistes sur leur trajet effectué, avec le thermomètre à la main. A noter que ces quatre à cinq heures supplémentaires par jour, s’ajoutent à leurs heures de travail de médecin.
Un étudiant mauricien explique pourquoi il reste à Wuhan.
Chirurgienne de formation, elle est sur le terrain depuis le 3 février, dans une ville mise en quarantaine selon le protocole sanitaire installé en Chine.
«Nous combattons le virus, pas les gens.»
Ayant fait leurs études de médecine en Chine depuis dix ans, employés au Wenzhou Panhealth Medical, ils estiment désormais que «la Chine est notre deuxième maison». C'est ainsi qu'ils n'ont pas hésité à répondre présents lors d'un appel à volontaires de l'hôpital.
Tenue de protection et masque, ils ont en charge la protection, la sécurité et le contrôle sur route en interrogeant les automobilistes sur leur trajet effectué, avec le thermomètre à la main. A noter que ces quatre à cinq heures supplémentaires par jour, s’ajoutent à leurs heures de travail de médecin.
Crédit vidéo : China Xinhua News
